Elément mobile permettant d'intercepter ou de laisser libre le passage de l'eau. Des vannes sont par exemple utilisées par les barrages, les usines hydroélectriques ou les écluses.
Variable servant au contrôle des cours d'eau, largement imposée par la géologie et par le climat : par exemple, le débit liquide, le débit solide, la géométrie de la vallée (pente en particulier), la nature du boisement du bassin versant, les caractéristiques granulométriques et mécaniques des matériaux du lit et des berges, ou la couverture végétale riveraine.
Degré de liberté dont dispose le cours d'eau pour accomplir ses fonctions de base, c'est-à-dire transporter le débit liquide et la charge solide. Ce sont les paramètres géométriques (largeur, profondeur, pente du fond, amplitude et longueur des sinuosités), la taille des sédiments transportés, la vitesse du courant.
Métrique constitutive du calcul de l'Indice Biologique Global Normalisé (IBGN). Elle correspond au nombre total de taxons récoltés au cours d'un prélèvement, qu'ils soient représentés par 1 ou n individus.
Opérations consistant à vider un barrage réservoir pour des motifs divers (entretien, visite d'ouvrage, réglementaire, ...). Compte tenu de ces impacts sur les milieux aquatiques, elle fait l'objet d'un arrêté préfectoral d'autorisation précédé d'un document d'incidence.
Ensemble des opérations consistant à vider un barrage réservoir et plan d'eau pour des motifs divers (entretien, visite d'ouvrage, réglementaire,...). Compte tenu de ces impacts sur les milieux aquatiques, la vidange fait l'objet d'un arrêté préfectoral d'autorisation précédé d'un document d'incidence.
Risque d'infiltration de polluants issus de la surface, à travers le sol et la zone non-saturée. La vulnérabilité des nappes est intrinsèque : elle dépend du contexte topographique (pente du terrain), pédologique (perméabilité), géologique (perméabilité, épaisseur). Une nappe captive, recouverte par une formation peu perméable (souvent des argiles) est peu vulnérable en comparaison d'une nappe libre.
Système d'information européen conçu pour répondre aux besoins de la Commission européenne en matière d'information environnementale publique dans le domaine de l'eau. Il recueille les données ayant fait l'objet d'un rapportage par les Etats membres, les bancarise et les diffuse. Son point d'entrée est www.eea.europa.eu/themes/water.
Refus, par les personnes enquêtées, des scénarios proposés lors des enquêtes pour une évaluation contingente. Certains individus peuvent en effet déclarer un consentement à payer nul (zéros de protestation), alors qu'ils sont favorables à la réalisation du projet proposé. Il est par ailleurs possible de distinguer les « zéros de protestation » des « vrais zéros » au cours de l'enquête. Les « zéros de protestation » sont généralement écartés de l'analyse.
Zone du territoire exposée ou qui pourrait être exposée à des aléas ou événements potentiellement dangereux (inondation, pollution, catastrophe naturelle, accident industriel) et où des enjeux humains, économiques ou environnementaux sont en présence.
Source :
d'après Ministère chargé de l'environnement
Zone inondable naturelle ou agricole (non actuellement urbanisée), pouvant être élargie aux crues d'occurrence supérieure à la crue centennale, dans le cadre d'une approche hydrogéomorphologique. Lorsque les enjeux locaux le nécessitent (niveau d'aléa, importance des zones considérées, etc.), des zones inondables qui, à la date d'approbation du Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE), sont classées « à urbaniser » mais ne sont pas encore très urbanisées, peuvent être considérées, pour leur partie non encore urbanisée, comme étant des zones à vocation d'expansion de crue.
Zone de production ou de pêche de coquillages vivants, regroupant tout lieu de captage, d'élevage et de pêche à pied professionnelle. Les activités de loisir ne sont pas concernées par ce découpage administratif.
Source :
d'après le Ministère chargé de l'agriculture et OIEau
Interface où la terre rencontre la mer, renfermant les environnements côtiers comme les eaux côtières adjacentes. Ses composantes peuvent inclure les deltas, les plaines côtières, les marais, les plages et dunes, les récifs, les forêts de mangrove, les lagons, les fjords et autres caractéristiques côtières.