Il repose sur l’idée que ceux qui produisent des biens et des services polluants doivent participer à leur dépollution.

Sur le papier, l’idée est bonne. Dans les faits, les fabricants dont les produits polluent l’environnement et les nappes phréatiques de manière diffuse et quotidienne, à l’instar des pesticides, ne sont pas obligés de payer une éco-contribution visant à financer une réduction de leurs impacts environnementaux.

Mais l’examen du projet de loi « économie circulaire » pourrait marquer une évolution de la réglementation. Les sénateurs ont introduit dans le texte l'obligation pour les industriels de contribuer à réduire ces impacts négatifs que leurs produits génèrent sur l'eau et les milieux aquatiques.

Source : presse - Les Echos